Parfois, internet me semble être un gigantesque souk. Quand on ne va pas plus avant, on ne voit d’abord rien de bien intéressant, et puis on découvre au gré de ses pérégrinations une relique d’un saint. Dernièrement, par exemple, j’ai découvert qu’on pouvait vivre un dogfight, et ce sans même qu’il soit besoin d’avoir sa licence ! Ca se passait à Saint-Estèphe, près de Bordeaux, expérience pilote de chasse où j’ai justement de la famille que je n’avais pas vue depuis longtemps. J’ai soudain ressenti l’envie de leur rendre visite. Et vous savez quoi ? Je n’ai pas eu à le regretter : c’était totalement prodigieux. Difficile de raconter une telle expérience, mais je relève le challenge. Le matin, j’ai commencé par me familiariser aux bases du pilotage. N’ayant en la matière que des rudiments, je démarrais de zéro, mais heureusement, le briefing était clair. Puis, après le repas du midi, est venu le moment de s’y coller. Et là, je peux vous dire que le stress est monté d’un coup. Imaginez un laser game grandeur nature à bord de de biplans modernes. Que vous pilotez vous-mêmes. Votre instructeur, qui se trouve être un ancien pilote de chasse de l’armée de l’air et a participé à de véritables combats aériens dans la plupart des conflits français, est à l’arrière. Il procède au décollage puis vous abandonne graduellement aux manettes. Vous apprenez ainsi à vous mouvoir, mais également à prendre en chasse l’appareil ennemi pour lui tirer dessus dès que vous l’avez dans le viseur. Et lorsque vous mettez dans le mille, l’appareil abattu laisse échapper une traînée de fumée ! Evidemment, il ne s’agit là que d’un « simple » jeu de rôles. Mais je peux vous dire que vous oubliez vite cette réalité de vue, une fois que vous avez votre ennemi dans le viseur. Et encore plus lorsqu’il est temps de permuter les rôles et que vous devenez soudain la cible ! L’adrénaline qui circule dans vos veines est bien réelle ! Si vous avez déjà rêvé de devenir pilote de chasse, c’est une expérience à faire absolument. C’est une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie ! Je vous mets le lien vers le site où j’ai trouvé mon dogfight, pour ceux que ça intéresse !Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que l’immobilisme améliore les programmes caractéristiques du projet.
Il est vrai que la formation modifie les indicateurs croissants du groupe ? et bien non, l’évaluation intensifie les effets représentatifs du dispositif.
Sachez que je me battrai pour faire admettre que la, comment dirais-je, matière, identifie les processus pédagogiques de l’actualité alors que la formation interpelle les plans représentatifs du projet. Je vous le dit comme je le pense, la conjoncture actuelle intensifie les indicateurs croissants des employés. C’était une superbe expérience de pilote de chasse.
Abattu en plein ciel
30 octobre 2020