Algérie: après la guerre

Le prix de la guerre par personne n’a toujours pas été identifié, en particulier dans la région algérienne. Certaines estimations placent les pertes militaires françaises à 27 000 annihilés et les pertes civiles à 5 000 à 6 000. Des sources françaises affirment que les pertes parmi les Algériens ont totalisé entre 300 000 et 500 000 personnes, tandis que les sources algériennes en revendiquent jusqu’à 1 500 000. De nombreuses villes ont été détruites; les bois ont été largement détruits; et quelque 2 000 000 d’habitants ont été transférés dans de nouvelles colonies. Les Européens qui ont gardé l’Algérie au moment de l’autonomie constituaient la plupart des administrateurs et des experts en gestion et techniques plus âgés, mais de nombreuses solutions publiques restaient pratiques; il ne restait que quelque 10 000 éducateurs français, souvent dans des articles séparés. Avec la perte de la gestion des exploitations agricoles puis des usines, le secteur manufacturier a néanmoins diminué, voyage tandis que le chômage et le sous-emploi ont atteint des niveaux extrêmes. L’exode massif des Français a laissé le gouvernement le plus récent avec de vastes terres désertes. Ces derniers ainsi que les domaines français restants (toutes les terres françaises ont été nationalisées en 1963) avaient été transformés en fermes conditionnelles travaillées par des comités du personnel, qui ont commencé à produire des usines d’exportation, en particulier de vino. La vie politique était particulièrement controversée après la liberté. L’autorité de Ben Khedda, le président du GPRA, a été agacée par la libération de la garde à vue française de cinq cadres du GPRA, comme Ben Bella. Bientôt, les chefs des autorités provisoires – et, plus décisif encore, les commandants de l’armée – se séparent. Houari Boumedienne et son armée frontalière efficace se sont rangés du côté de Ben Bella, qui avait créé le Bureau politique pour faire obstacle à la force du GPRA. D’autres nombres dominants se sont rangés du côté de Ben Khedda, tandis que les commandants de la guérilla intérieure, qui ont mené la bataille, se sont opposés à toutes les factions extérieures, tant militaires que civiles. La tension et les affrontements localisés entre les services militaires menaçaient une bataille civile totale. Les présentations spontanées des habitants fatigués de près de huit années de bataille avec la France sont intervenues entre les factions des services militaires et ont empêché la terre de s’engager dans davantage de combats. Grâce à des mouvements politiques fragiles, Ben Bella et le Bureau politique ont pu établir la liste des perspectives de votre Assemblée populaire nationale, ratifiée en septembre 1962 par une majorité frustrante de l’électorat. La nouvelle assemblée a demandé à Ben Bella de former les toutes premières autorités du pays. Avec l’aide militaire de Boumedienne, Ben Bella a réaffirmé son énergie, luttant contre une rébellion armée localisée dirigée par son compatriote chef rebelle Aït-Ahmed et le colonel Mohand ou el-Hadj en Grande Kabylie. Tout simplement parce que le type de gouvernement individuel de Ben Bella et ses impressionnantes garanties imprudentes d’aide aux mouvements innovants n’étaient pas favorables à une gestion ordonnée, il y avait également de graves divisions dans l’équipe dirigeante. Des luttes intestines gouvernementales subséquentes en avril 1963, un collègue du Bureau politique et un assistant-base du FLN, Khider, restèrent le pays, emportant avec lui beaucoup de ressources du parti. Il a été assassiné à Madrid plusieurs années plus tard. D’autres dirigeants dissidents ont également été progressivement éradiqués, et ce reste reste géré en toute sécurité entre les mains de Ben Bella ainsi que du commandant de l’armée Boumedienne. Le plan évident de Ben Bella pour éliminer Boumedienne avec ses partisans a été déjoué en juin 1965 lorsque Boumedienne et aussi l’armée ont déménagé au départ. La conception gouvernementale erratique de Ben Bella et le mauvais document administratif ont produit son éradication satisfaisante pour les Algériens, mais le régime Boumedienne a commencé avec peu de soutien apprécié. Dans les années qui ont suivi, Boumedienne a déménagé de façon non dramatique mais efficace pour consolider son pouvoir, voyage groupe la loyauté de l’armée restant l’aspect essentiel. Les efforts pour réorganiser le FLN ont rencontré de nombreux succès. L’approche prudente et délibérée de Boumedienne s’est manifestée dans les avancées constitutionnelles, les élections communales ayant eu lieu en 1967 et les élections provinciales en 1969. Cependant, les élections à l’Assemblée populaire nationale n’ont pas eu lieu pour la première fois jusqu’en 1977.

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